Nighthaven [VALIDE]

Savez-vous ce qu’est un Archon Deus-Ex ? Moi non plus. Mais ce que je sais en revanche, c’est qu’ils sont puissants et qu’ils ne sont vraiment pas commodes. En fait, ils ont très mauvais caractère et leur tendance à toujours répondre par la violence les rends détestables. D’où viennent-ils ? Que sont-ils réellement ? Il m’est pour ainsi dire impossible de répondre à ces questions. Tout ce que je peux vous affirmer, c’est qu’ils sont rares, si rares que j’irais même jusqu’à prétendre qu’il n’en reste plus qu’un.

Sweeper.

Depuis que la fatalité nous a inexorablement liés, il prend un malin plaisir à faire de ma vie un enfer. Du moins, il a manifesté ses desseins comme tels… En revanche, il y a une chose à laquelle il ne s’attendait pas : ma nature profonde, qui me permet de lui rendre la monnaie de sa pièce haut la main. Au final, nous ne savons plus lequel de nous deux pourrit le plus la vie de l’autre...

Je m’appelle Nighthaven. Je suis la toute dernière Strega, mon peuple ayant été exterminé par mes soins… Autrefois, j’avais un nom supplémentaire : Jewell. Il appartenait à mon autre personnalité, apparente seulement la journée. Mais à la suite d’événements volontairement recherchés, nos deux personnalités ont fusionné pour ne faire plus qu’un. Comme j’étais la plus forte, c’est moi qui domine à présent notre corps. Dommage pour l’ensemble de mes ennemis. La faiblesse de Jewell engendrait ma vulnérabilité complète durant le jour, ce qui faisait de moi une victime aisée à abattre. Or, depuis que je suis de retour sans l’ombre de Jewell, il n’est plus question de faiblesse. Je maîtrise parfaitement nos pouvoirs et mon caractère de feu suffit à dissuader bien des idiots de venir se frotter à ma noble personne.


Prétendre que Nighthaven n’a pas été gâtée par la nature serait mentir. Qu’elle soit sous son apparence humaine, ou sous l’apparence de la Strega, elle reste une belle femme, aux traits fins et racés. Ses yeux mordorés, aux reflets vermeils, gagnent en incandescence sous l’effet de la colère. Jadis, ils étaient d’un brun ordinaire et flamboyaient d’un rouge rubis uniquement la nuit, lorsqu’elle retrouvait sa forme de Strega. Mais suite à de dramatiques événements, Nighthaven a gardé quelques séquelles physiques. Désormais, de jour comme de nuit, ses yeux sont toujours ceux de la Strega. Sa peau, au teint délicatement hâlé, est douce et lisse, sans la moindre imperfection. Plutôt grande, ses formes féminines sont largement mises en valeur par ses tenues souvent légères mais surtout pratiques pour arpenter le monde dans les aventures qui se présentent à elle. Nez droit, jolie bouche rouge, elle a de longs cheveux auburn dont les quelques boucles valsent au gré du vent sur ses épaules. Jambes fuselées et taille fine, elle dégage un charisme intimidant et un charme magnétique qui lui permet de séduire aisément les hommes, pour leur plus grand malheur. Lorsqu’elle retrouve son apparence de Strega, d’immenses ailes noires jaillissent de son dos et d’étranges symboles se dessinent sur sa peau, se mouvant de manière reptilienne pour prendre place sur son dos, sa nuque et une partie de son visage. Semblables à de magnifiques tatouages, faits de courbes et de lignes gracieuses, il s’agit là de l’héritage de son clan, qui marque son appartenance à la race des Stregas.


Autrefois, Nighthaven était soumise à un étrange malédiction : deux esprits cohabitaient dans son corps. L’un, humain, portait le nom de Jewell et dominait durant la journée. Faible, gentille, vulnérable, elle était le tendon d’Achille de la Strega. Mais dès que le soleil se couchait, Jewell s’effaçait pour laisser place à Nighthaven, redoutable Strega. Ses ailes noires repoussaient, ses marques apparaissaient, et ses yeux viraient à l’incandescence rougeoyante, tels deux braises que le vent attise. Au cours d’événements parfois fâcheux, ces deux personnalités fusionnèrent, mais la force de caractère de Nighthaven lui permis de dominer l’autre.

Aujourd’hui, la Strega garde ses penchants pour la violence et le sang, mais observe un bien meilleur contrôle sur ses pulsions. Elle est capable de conserver son calme et son sang-froid même lorsque la situation est extrême. Elle fait preuve d’une plus grande patience, et tue de moins en moins pour le plaisir.
Néanmoins, il est bon de noter que Nighthaven peut avoir des réactions imprévisibles qui la rendent d’autant plus dangereuse. Une phrase au ton mielleux peut, au moindre faux pas, précéder une réaction violente pouvant aboutir à un épanchement de sang.
Nighthaven est une Strega, c'est-à-dire moitié vampire, moitié sorcière. Elle est une prédatrice, qui chasse autant qu’elle séduit, même si elle ne s’attache que très rarement. Elle s’abreuve de sang par plaisir et non par nécessité. Tuer est naturel chez elle, et ne lui oppose pas de cas de conscience. Elle aime jouer et relever des défis, mais déteste la trahison. Cela a tendance à la rendre légèrement agressive. Sa rancune la pousse à rendre la justice en son nom et elle n’accepte qu’une seule alternative : la mort pour le traître.
En-dehors de ses mauvais penchants, Nighthaven a su conserver quelques traits humains, qui adoucissent sa personnalité très crue. En tous les cas, il faut seulement rester méfiant car on ne sait jamais quel comportement elle va adopter, ou quelles seront ses réactions…


Mon histoire est infinie. L’Archon Deus-Ex qui me suit comme mon ombre vous le confirmerait. Il a lu en moi jusqu’aux tréfonds de mon être, un acte pour lequel je l’ai condamné à mourir. Sauf que dans l’immédiat, je ne peux pas accomplir la sentence. Je vais essayer de vous conter le périple que fut mon existence sans m’attarder dans les détails, afin d’aller à l’essentiel.

Mes origines remontent à longtemps. Très longtemps. Je ne viens pas de Samroun, mais d’un monde disparu qui portait jadis le glorieux nom de Baldora. Un monde qui avait vu naître le peuple des Stregas et celui des Chantelames, ceux qui nous enseignèrent la magie pour nous rendre meilleures. J’appris à maîtriser les quatre éléments et à contrôler tout ce qui était lié au climat. Je développai des capacités psychiques étonnantes et on m’enseigna l’art du combat sous bien des formes. Naturellement, il ne fallut pas longtemps pour que je devienne l’une des meilleures guerrières de Baldora. J’avais la violence dans le sang, le chaos assombrissait mon âme, et mon esprit était corrompu par la détresse enterrée d’une enfance difficile.

Je me souviens de la guerre, mais j’ai oublié pourquoi nous nous sommes battus, pourquoi nous avons combattu. Je crois qu’il y avait une épée derrière tout cela. Une épée aux pouvoirs redoutables, dont j’avais réussi à m’emparer mais qui, aujourd’hui, n’est plus en ma possession. J'ignore où elle se trouve désormais. Il me semble aussi qu’un ennemi est après moi, mais je vous avoue ne pas m’en souvenir non plus. Ni son nom, ni son visage.

En revanche, je n’ai pas oublié ma décision la plus terrible : celle d’achever ce qui restait de mon peuple, par simple ambition, histoire d'assouvir mon désir de demeurer unique à jamais... Ce fut une nuit sanglante, suivies par bien d’autres. Chaque matin, une aube rouge se levait. Chaque jour, j’allais nettoyer le sang qui maculait ma peau et mon visage. Et à chaque crépuscule, je reprenais mon impitoyable besogne. Les Stregas ne sont pas faciles à détruire mais j’étais la plus puissante et je n’ai montré aucune pitié envers elles. Certaines résistèrent plus que d'autres, mais aucune ne fut de taille à me vaincre...

Hélas, les Chantelames représentaient une autre catégorie d’ennemis que j’avais sous-estimée. Ils attendirent patiemment que j’ai achevé la dernière Strega, de façon à ce qu’il ne reste plus que moi, et seulement moi. Lorsqu’ils eurent la certitude que j’en avais fini avec mon propre peuple, ils dépêchèrent trois tueurs sur mes traces pour m’éliminer. Ainsi, je faillis partager le sort de mes sœurs et ce fut de justesse que j’échappai à la mort. Un portail ancestral, qui ne s’était pas ouvert depuis près de mille ans, m’offrit la seule opportunité que j’avais d’en réchapper. Sans hésiter, je basculai vers un autre monde, dans une autre dimension.

Samroun.

Là devait démarrer une nouvelle succession d’aventures inattendues dont je n’allais certes pas ressortir indemne.

En arrivant à Samroun, je décidai qu’il me fallait trouver un mâle dont le potentiel me permettrait d’engendrer ma propre lignée de Stregas. Ma rencontre avec un ange scella cette décision et il sut accomplir avec brio ce que j’attendais de lui. Sevel, l’ange aux ailes teintées d’orgueil, me permit de donner naissance à deux enfants. Sweïlilian et Solstyce, faux jumeaux mais liés comme les deux doigts de la main par un amour fraternel si fort que rien ni personne ne pouvait le briser.
Quant à Sevel, si un semblant d’amour sincère nous rapprochait, il est des obstacles si grands qu’il est impossible de passer outre sans en subir de lourdes conséquences.

La naissance de mes enfants se passa de la plus mauvaise façon qu’on puisse imaginer : j’y perdis la vie et les jumeaux la leur. L’intervention inespérée et inattendue de Sevel leur permit cependant de revenir à la vie, mais le prix était élevé. Tandis que j’errais déjà en Enfer, le Diable lui-même fit son apparition lors de cette terrible nuit, grâce à une jeune inconnue dont le chemin hasardeux croisa le mien et dont je pus espérer l’assistance pour donner naissance aux jumeaux.
Satan en personne vint réclamer son dû, furieux que Sevel lui ait retiré les nouveau-nés. Une discussion orageuse s’en suivit et des pactes furent envisagés, puis conclus. J’étais damnée, mes enfants l’étaient aussi, mais nous étions tous vivants. Sevel avait mis son âme en jeu pour convaincre le Diable.

Bien des années après, alors qu’une page de mon Histoire s’était tournée, je rencontrai un mystérieux jeune homme du nom de Nathaniel Grey. Détenteur d’un livre inconnu dont les pouvoirs étaient tenus secrets, il m’entraîna dans la plus désastreuses des aventures, en nous projetant au temps de son enfance... Loin dans le passé, j’y retrouvai Sevel, incapable de me reconnaître, et nos enfants, présents par un malchanceux coup du hasard. Nous eûmes une conversation pour le moins décousue, qui tourna rapidement au vinaigre. Les esprits s’échauffèrent dangereusement et pour une phrase dite un ton trop haut, les choses générèrent tragiquement. Je mourrai pour la seconde fois, retrouvant l’Enfer que j’avais déjà expérimenté. Les jumeaux jurèrent la perte de ce père qu’ils détestaient déjà, et qu’ils haïssaient à présent pour m’avoir tuée de ses propres mains.

Ici commence une autre vie, car les enfers n’ont pas leur pareil pour transformer votre existence et changer votre personne. Livrée aux tourments et aux souffrances de mon détestable destin, je n’aspirais qu’à m’enfuir, de quelque façon que ce soit. J’ignore combien de temps il s’écoula à Samroun entre mon exil vers l’Enfer et mon retour dans le monde des vivants, mais croyez-moi quand je vous dit que j’eus l’impression de voir l’éternité s’écouler là-bas. Pendant que j’errais, désespérée et folle de rage, mes enfants œuvrèrent sans relâche pour me libérer, si bien que leurs efforts furent finalement récompensés. Mais à quel prix ?

Ils m’envoyèrent un démon de haut niveau qu'ils avaient pu acheter pour m’assister dans mon projet d’évasion. Hélas, avec l’œil de Satan posé sur moi en permanence, ce n’était pas chose aisée. Ma seule chance d’en réchapper consistait à trouver un Archon Deus-Ex susceptible de m’aider, car seuls ces êtres mi-démoniaques, mi-angéliques, avaient le pouvoir de me faire quitter les enfers en échappant aux griffes du Diable. Mais une telle initiative incluait un sacrifice que je n’étais pas tout à fait disposer à accorder. Je n’eus toutefois pas le loisirs d’en décider.

Sweeper me tomba dessus comme la foudre et son être fusionna avec le mien avant que je n'eus le temps de prononcer le moindre mot. Tout comme Lucifer, le démon envoyé par les jumeaux, j'avais pensé les Archon Deus-Ex exterminés. Je n'avais pas cru possible d'en découvrir un en Enfer, même si j'appris plus tard que les Archon Deus-Ex pouvaient se trouver n'importe où, de l'Enfer au Paradis en passant par les mondes terrestres. Mon premier contact avec Sweeper se fit donc au travers de son Artefact, ici un bijou. Ainsi, un bracelet en forme de serpent se noua autour de mon bras droit et je perdis connaissance, mon esprit résonnant encore du rare sarcastique de ce maudit Archon.


Je ne lui avais pourtant rien demandé. Quelqu’un s’en était visiblement chargé à ma place, à moins bien sûr qu’il ne se soit imposé de lui-même. Dans ce dernier cas, je redoutais de découvrir ce qu’il attendait en retour…

Lorsque je rouvris les yeux, j’étais de retour à Samroun. Perdue dans la campagne, désorientée, j’avais des troubles de la mémoire et une sensation de brûlure au bras, là où cet indestructible bracelet était apparu. Je ressentis la présence de l’Archon Deus-Ex à l’intérieur du bijou, puissant et violent, à mi-chemin entre le divin et le maléfique.
Parfois capable de se glisser en moi pour contrôler mes faits et gestes, et même mes pensées, il pouvait aussi prendre n’importe quelle forme dans le monde matériel. Mais à chaque fois qu’il quittait son Artefact, il perdait en énergie et ne pouvait pas rester plus d’une journée sous forme physique.

Néanmoins, croyez bien qu’une journée est amplement suffisante pour lui permettre de me pousser à bout. Après chaque émergence, il avait besoin de se ressourcer au cœur du bracelet durant un temps égal à son temps de sortie dans la réalité. Ses dons d’esprit lui permettaient bien des choses dérangeantes, comme lire dans les esprits ou percevoir les sentiments d’autrui. Il lui arrivait aussi de s’amuser à déplacer des objets.

Je crois que les Archon Deus-Ex sont dangereux surtout une fois qu’ils sont assez puissants pour posséder entièrement votre corps et votre esprit. Leurs pouvoirs grandissent dès qu’ils se lient à un Porteur par le biais de leur Artefact. Je ne sais pas ce qu’ils sont exactement, mais celui qui est venu à moi gagne en puissance et en indépendance à chaque fois que je répands le sang ou la violence. Le Mal engendre le Mal dit-on. C’est peut-être vrai… Ce qui m'intéresse désormais, c'est de découvrir qui m'a envoyé Sweeper, car j'ai le sentiment d'avoir été piégée et que quelque chose de bien plus grave se trame dans mon ombre...

Quand à moi, j’ai perdu une partie de mes pouvoirs en Enfer, mais que ce soit grâce à mon exil là-bas ou grâce à l’Archon Deus-Ex, j’en ai acquis de nouveaux. Ainsi, sur les quatre éléments que je maîtrisais à la perfection, je n’ai gardé que la maîtrise incontestable de l’eau. J’ai perdu tout don télépathique, soit les pouvoirs de l’esprit, mais je garde en revanche une admirable maîtrise du climat : pluie, soleil, orage, vent, brouillard… Quant à mes nouveaux pouvoirs, ils s’axent sur ce qu’on appelle la Nécromancie. Comme ils sont nouveaux pour moi, je les connais mal et je n’ai que très peu de maîtrise sur eux. Je sais toutefois que je peux relever et animer les morts, et peut-être même ressusciter quelqu’un mort très récemment. Je peux également communiquer avec les fantômes. Je ne les vois pas, mais je peux quelques fois les entendre sans même le vouloir. C’est d’ailleurs assez déroutant.

A Samroun, il me faut redécouvrir le monde. J’ai besoin de comprendre mon passé pour appréhender mon futur, et l’Archon Deus-Ex ne m’est pas d’une grande aide. Je ne peux pas le tuer, l’annihiler, ou le vaincre d’une façon ou d’une autre. J’ai beau essayer, c’est sans succès. Je ne peux pas retirer le bracelet, ni le détruire. Quant à Sweeper, il cherche lui aussi à me faire mourir. Il m’expose sans cesse au danger, dès qu’il le peut, car cela m’oblige à me défendre et à chaque fois que j’ai recours à la violence, ses pouvoirs augmentent. Si j’échoue et que je meurs, le bracelet tombera et Sweeper attendra qu’un pauvre fou le ramasse. Aussitôt qu’il le touchera, le bracelet s’imposera à son bras et le cercle infernal continuera. Lorsqu’il sera assez puissant, j'envisage deux possibilités sur les desseins de l’Archon Deus-Ex : où il brisera les entraves qui l'enchaînent à l'Artefact pour prendre corps dans le monde des vivants, ou il me possédera corps et âme et je cesserai alors d'exister. Dans les deux cas, j'ignore ce qu'il adviendra. J'ai tout intérêt à découvrir rapidement ce qui s'est passé en Enfer. Je dois découvrir les tenants et les aboutissants de cette affaire dont j'ai été la victime...

[Pour ceux qui ont la flemme de tout lire...]

Nom : Stycorax
Prénom : Nighthaven
Sexe : féminin
Âge : 25 ans en apparence, près 500 ans en réalité
Race : Strega (mi-vampire, mi-sorcière)

Pouvoirs

Maîtrise de l’Eau : niveau supérieur. Peut maîtriser l'eau sous toutes ses formes, de manière offensive ou défensive (glace, vapeur, fouets d'eau, murs d'eau etc...)
Maîtrise du climat : niveau supérieur. Peut agir sur le climat, impliquant l'orage, la pluie, le brouillard, le vent etc... (aucun impact à l'échelle planétaire...)
Nécromancie : niveau faible (dans la théorie, elle peut relever et animer des morts, ressusciter quelqu’un décédé depuis moins de huit heures et communiquer avec les fantômes. Elle peut les entendre, mais pas les voir)

Particularités : Est liée à un Archon Deus-Ex du nom de Sweeper. Il s'agit d'une race inconnue dont les pouvoirs de l'Esprit sont redoutables (télépathie, télékinésie, empathie...) Ce sont des êtres rares mi-divins, mi-démoniaques. Prisonniers d'un Artefact qui peut avoir n'importe quelle forme, ils recherchent généralement un "Porteur" par le biais duquel ils aspirent à gagner en puissance. Ainsi, à chaque fois que le Porteur a recours à la violence et fait couler le sang, les pouvoirs de l'Archon Deus-Ex augmentent. Lorsqu'il devient assez puissant, l'Archon Deus-Ex est en mesure de se libérer de l'Artefact. Il peut soit posséder à tout jamais son Porteur (qui cessera alors d'exister), soit prendre corps dans la réalité. Tant qu'il est lié à l'Artefact, (ici un bracelet en forme de serpent que Nighthaven porte au bras droit), Sweeper peut se matérialiser sous n'importe quelle forme physique pour une durée inférieure à 24 heures. Il peut aussi, temporairement, contrôler les faits et gestes de la Strega, ainsi que ses pensées.

Bienvenue, ma chère !

Bienvenue à toi, Contente de vous revoir ma chère en nos murs... et j'espère recroiser bientôt votre route.

Pour moi tout est ok, tu es donc validée